Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Monster High ;-p

2 janvier 2012

Monster High Tome 1: Chapitre 1

Chapitre 1

Nouveau Nez, Nouvelle Vie

 

      Le trajet de quatorze heures depuis Beverly Hills en Californie jusqu'à Salem dans l'Oregon avait été digne d'un séjour dans le camp de détention de Guantanamo. Le voyage en auto s'était transformé en autopunition moins de une minute après le départ et elle en avait pris pour mille cinq cents kilomètres. La seule solution que Mélodie Carver avait trouvée pour y échapper consistait à faire semblant de dormir.

      - Bienvenue dans l'hOrreuregon, marmonna sa soeur aînée comme ils traversaient la frontière de l'Etat de l'Oregon. Je devrais plutôt dire CraignOregon ? Que dites vous de Cro-MagnOregon ? Ou bien...

      - Ca suffit, Candace! lui ordonna sèchement son père depuis le siège conducteur de leur 4X4 BMW flambant neuf.

     Il avait choisi vert, et pour la carroserie et pour la consommation d'essence, pour bien montrer leur volonté d'ouverture aux habitants de Salem et prouver que la famille de Beau et Glory Carver n'était pas qu'un transplant sublime et friqué de Berverly Hills.

     Les trente-six cantines remplies de kayaks, de planches à voile, de cannes à pêche, de gourdes, de DVD sur la dégustation du cin, de mélanges de frits secs bio, de matériel de camping, de pièges à ours, de talkies-walkies, de crampons d'escalade, de pics à glace, de marteaux et de hachettes à bois, de skis, de bottes, de perches, de snowboards, de casques, de vêtments d'extérieur Burton et de sous-vêtements en flanelle qu'ils avaient fait expédier par UPS n'étaient que quelques exemples supplémentaires de leur détermination.

     Mais Candace reprit ses jérémiades de plus belle quand la pluie se mit à tomber.

     - Ahhhh! le mois d'août dans gOregon! soupira-t-elle. C'est pas trop top ? ( Là normalement, Candace levait les yeux au ciel. Mélodie n'avit pas besoin de la regarder pour le voir, mais elle jeta quand même un rapide coup d'oeil à travers ses paupières mi-closes pourêre sûre.) Beurk! ( Dégoûtée, Candace donna un coup de pied dans le dosiier du siège de sa mère, avant de se moucher et de balancer son Kleenex sur l'épaule de sa soeur. Le rythme cardiaque de Mélodie grimpa en flèche, mais elle réussit à ne pas bouger. C'était plus facile que de se battre avec Candace.) Je ne vois pas pourquoi on doit déménager, poursuivit Candace. Mélodie respire l'air pollué de Los Angeles depuis quinze ans et elle y a survécu jusqu'ici. C'est pas une année de plus qui va la tuer. Elle n'a qu'à porter un masque. Tout le monde le signerait, comme un plâtre. Ca inspirerait peut-être même une gamme d'accessoires pour asthmatiques. Genre des inhalateurs à porter en sautoir et...


     - Assez, Candi, soupira Glory, manifestement lassé de ce débat qui durait depuis un mois.

     - Mais, l'année prochaine, j'entrerai à l'université, insista Candace, qui avait l'habitude d'avoir le dernier mot. ( Elle était blonde, parfaitement proportionnée et obtenait toujours ce qu'elle voulait.) Vous n'auriez pas pu attendre un an pour déménager ?

     - Ce déménagement nous sera profitable à tous. ce n'est pas seulement à cause de l'asthme de ta soeur. Merston High est l'une des meilleures écoles de l'Oregon, et c'est aussi pour nous rapprocher de la nature et nous éloigner de la superficialité de Beverly Hills.

     Mélodie sourit intérieurement. Son père, Beau, était un chirurgien ésthétque réputé, et sa mère était styliste pour les stars. La superficialité était leur maîtresse. Ils étaient ses zombies. Mélodie n'en appréciait pas mois les efforts déployés par sa mère pour empêcher Candace de rejeter la faute sur elle. Même si, en réalité, c'était bien à cause d'elle qu'ils déménageaient.

     Au sein d'une famille d'êtres humains génétiquement parfait, Mélodie Carver était une anomalie. Un mouton noir. Une excentrique. Elle ne rentrait pas dans le moule.

    Malgré ses origines cent pour cent californiennes, Beau avait été doté par dame nature d'une beauté à l'italienne. Ses yeux de velours noirs étaient comme un lac sombre éclairé par le soileil et son sourire aussi chaud que le cachemire. Son teint naturellement mat et un chouÏa d'autobronzant lui avaient permis, à quarante-six ans, de conserver une peau de bébé.

     Le bon dosage entre une barbe de trois jours et des cheveux coiffés au gel lui avait attiré une clientèle dont la moitié était des hommes. Il était une publicité vivante pour son boulot de chirurgien et, quand ils enlevaient leurs pansements, les hommes comme les femmes espéraient avoir l'air aussi jeune que... Beau.

     Glory avait quarante-deux ans mais, grâce à son mari, elle avait bénéficié d'un lifting préventif de sa peau sans défaut bien avant d'en avoir besoin. Devançant haut la main (arfaitement manucurée) la coube du développement humain ordinaire elle avait atteind un nouveau stade de l'évolutio défiant les lois de la gravité, et avait céssé de viellir à l'âge de trente-quatre ans. Avec des cheveux auburn tombant sur ses épaules, des yeux aigue-marine et des lèvres naturellement pleines qui n'avaien nul besoin de collagène, Glory aurait pu être mannequin, si elle avait été plus grande. C'est ce que tout le monde disait. Mais elle jurait ses grands dieux qu'elle aurait embrassé la carrière de styliste même si Beau lui avait allongé les tibias.

     Candace, la chanceuse, était un beau mélange de ses deux parents. telle une prédatrice alpha, elle s'était octroyé les meilleurs gènes, ne laissant que les restes pour le rejeton qui viendrait après elle dans la lignée. La petite taille qu'ele avait hérité de Glory avait certes mis un grein à sa carrière de mannequin,mais lui avait permis d'hériter de la garde-robe de sa mère, qui regorgeait d'un assortiment de pièces de marrques allant de Gap à Gucci (mai surtout Gucci). Elle avait les yeux bleu-vert de sa mère, rehaussés de l'éclat de velours de son père, le teint hâlé de Beau et le grain de peau photoshopé de Glory sur des pommettes aussi sailantes que des balustres de marbre. Pour couronner le tout, ses longs cheveux, qui supportaient aussi bien le lissage que les ondulations, avaient la couleur du beurre blond dans lequel on aurait versé des filaments de sucre caramélisé.Les amies de Candi (et leurs mères) prenaient des photos de sa mâchoire carrée, de son menton volontaire ou de son nez rectiligne pour les donner à Beau dans l'espoir que ses mains accompliraient les mêmes miracles que ses gènes. Et il fasait, bien sur, toujours des merveilles.

     Y compris sur Mélodie elle-même.

Convaincue que ses parents s'étaient trompé de bébé en rentrant de la maternité, Mélodie n'accordait que peu de valeur à l'apparence physique. Pourquoi l'aurait-elle fait ? Elle avait le menton fuyant, des dents irrégulières et des cheveux noir corbeau. Aucun reflet. Aucun relief. Ni mèches blondes ou caramel. Rien qu'un noir mat et uniforme. Des yeux gris acier, parfaitement fonctionnels mais étroits et rapprochés, lui donnait l'air d'un chat septique. Si quelqu'un les avait regardés... Parce que c'était son nez qui était le centre de l'attention. Affligé de deux bosses, long et pointu, il évoqait un chameau posé sur le museau d'un chien vu en plongée.

     Mais elle s'en moquait. Pour Mélodie, sa voix de soprano était son plus bel atout. Ses professeurs de musique s'étaient tous extasiée sur la tessiture au timbre parfait. Claire, angélique, obsédante, sa voix envoùtait tous ceux qui l'entendaient et le public, en larmes, finissait debout à chaque récital. Malheureusement pour elle, à l'âge de huit ans, son asthme était entré en scène et lui avait volé la vedette.

Quand elle était entré au collège, Beau avait proposé de l'opérer, mai Mélodie avait refusé. Un nouveau nez ne guérirait pas son asthme, alors à quoi bon ? Elle n'avait qu'à serrer les dents jusqu'au lycée et les choses s'arrengeraient. Les filles seraient moins superficielles, les garçons plus mûrs. et ils ne penseraient tous qu'à étudier pour entrer à l'université.

Ha!

Elle avait vite déchanté en arrivant au lycée de Beverly Hills. Les filles l'appelaient Nélodie à cause de son grand nez... et les garçons ne l'appelaient jamais. lls ne la regardaient même pas. A Thanksgiving, elle était devenue pratiquement transparente. Sans sa respiration sifflante et le "pschitt" omniprésent de son inhalateur, personne n'aurait su qu'elle existait.

Beau ne pouvait plus supporter de voir sa fille - et son "potentiel symétrique" - souffrir plus lontemps. A Noel, il avait dit à Mélodie qu ele Père Noel avait approuvé une nouvelle tecnique de rhinoplastie qui dégageait les voies aériennes supérieures et soulageait l'asthme. Elle serait peut-être même capable de chanter de nouveau.

     - C'est merveilleux!

     Glory avait joint ses mains ines en levant les yeux vers le ciel pour exprimer sa gratitude.

     - Adieu Rodolphe, le renne au gros nez rouge, avait rigolé Candace.

     - C'est pour sa santé, pas pour l'esthétique, Candace, l'avait réprimandée Beau, désireux de composer avec Mélodie.

     - Ouah! Cest trop génial!

     Mélodie s'était jetée dans les bras de son père pour lui montrer sa gratitude, même si elle doutait un peu qu'un gros nez ait un rapport quelconque avec la constriction des bronches. Mais elle se prit à espérer un peu en faisant semblant de croire à son explication, et c'était plus facile que d'avoir à admettre que sa famille avait hont de son visage.

     Beau opéra donc Mélodie pendant les vacances de Noel. Elle se réveilla le petit nez mutin de Jessica Biel et de facettes en céramiqueq sur ses dents de vampire. A la fin de sa convalescence, elle avait perdu trois kilos et gagné un accès aux vêtements de maque de sa mère allant de Gap à Gucci ( mais surtout Gucci). Malheureusement, elle ne pouvait toujours pas chanter.

     De retout au lycée de Beverly Hills, les filles se montrèrent accueillantes, les garçons la regardaient avec les yeux ronds et même les colibris semblaient voler plus près. Elle découvrit un degré d'acceptation dépassant tout ce qu'elle avait pu rêver.

     Mais ce nouvel état de grâce ne trouva pas grâce à ses yeux. Au lieu de se pavaner avec son nouveau nez et de s'intéresser au garçons, Mélodie passa tout son temps libre sous sa couette, se sentant comme le sac Tory Burch en cir métallisé de sa soeur:superbemnt brillant à l'exterieur et d'un foullis indescriptible à l'interieur. Comment osent-ils être gentils avec moi juste parce que je suis devenue joli! En réalité, je n'ai pas changé!

     Aux vacances d'été, Mélodie s'était complètement repliée sur elle-même. Elle s'habillait de vêtements informes, ne se brossait pas les cheveux et son seul accessoire était l'inhalateur accroché à la boucle de sa ceinture.

     Au cours du barbecue annuel que les Carver organisaient pour le 4 juillet (à l'occasion duque elle chantait autrefois l'hymne nationl), Mélodie fut victime d'une crise d'asthme particulièrement aigue qui la consuisit tout droit à l'hôpital Cedars-SinaÏ. Dans la salle d'attente, Glory avait feulleté avec nervosité un magazine touristique et était tombé en arrêt devant un paysage de l'Oregon. Elle avait déclaré respirer le bon air rien qu'à regarder cette nature luxuriante. Quand Mélodie sortit de l'hôpital, ses parents lui annoncèrent qu la famille déménageait. Et, pour la première fois, un sourire avait éclairé son visage parfaitement symétrique.

     Salut,j'adOregon! songea-t-elle en son for interieur comme la BMW verte avançait sur la route.

     Alors, bercée par le bruissement régulier des essui-glace sur le pare-bise et le tambourinement de la pluie, Mélodie sombra dans le sommeil.

     Cette fois pour de bon.

    

    

 

 

 

 

Publicité
Publicité
1 janvier 2012

Monster High Tome1 Prologue

                                                                            Prologue

 

 

 

     Frankie Stein ouvrit les yeux en battant de ses cils épais. Des éclairs intermittents flashèrent devant ses globes ocuaires comme elle esayait d'ajuster sa vision, mais ses paupières étaien trop lourdes pour qu'elle puisse les ouvrir entièrement. La pièce fut soudain plongée dans le noir.

   - Son cortex cérébral est fonctionnel, déclara une voix d'homme au timbre grave empreinte d'un mélange de satisfaction et de lassitude.

   - Est-ce qu'elle peut nous entendre? demanda une voix de femme.

   - Elle peut entendre, voir, comprendre, et identifier plus de quatre cents objets, répondit l'homme avec fierté. Je vais continuer à alimenter son cerveau et dans deux semaines elle disposera de l'intelligence et des capacités physiques d'une adolescente moyenne de quinze ans. (Il marqua une pause.) Bon, elle sera peut-être un peu plud intelligente que la moyenne, mais elle ura quinze ans.

   - Oh! Viktor, c'est le plus beau jour de ma vie! (La femme renifla.) Elle est parfaite.

   - Je sais. ( L'homme renifla aussi.) La parfaite petite fille à son papa.

      Ils déposèrent chacun leur tour un baiser sur le front de Frankie. Le premier sentait les produits chimiques, la seconde avait un parfum de fleurs. Ensemble, ils avaient l'odeur de l'amour.

      Frankie tenta une nouvelle fois d'ouvrir les yeux, mais c'est à peine si elle put soulever les paupières.

   - Elle a cligné des yeux! s'exclama la femme. Elle essaie de nous regarder! Frankie, je m'appelle Viveka. Je suis ta maman. Est-ce que tu me vois?

   - Elle ne peut pas nous voir, dit Viktor.

     Ces mots provoquèrent une crispation dans le corps de Frankie. Comment une personne extérieure pouvait-elle décréter ce qu'elle était capable de faire ? Ca n'avait pas de sens.

   - Pourquoi pas ?

     Sa mère semblait se poser les mêmes questions qu'elle.

   - Ses batteries son presque à plat. Elle a besoin d'être chargée.

   - Eh bien, qu'est-ce que tu attends pour le faire!

     Oui, charge-moi! Charge-moi! Charge-moi!

     Plus que tout, Frankie avait envie de voir les quatres cents objets que son père avait mentionnés. Elle voulait voir le visage de ses parents quand ils nommeraient chacun d'eux de leur voix aimante. Elle voulait s'éveiller à la vie pour explorer le monde dans lequel elle venait de naître. Mais elle ne pouvait pas bouger.

   - Je ne peux pas charger tant que ses boulns ne sont pas en place, expliqua son père.

     Viveka se mit à pleurer doucement, et ce n'était plus de joie.

   - Ne t'en fais pas, ma chérie, la consola Viktor. Dans quelques heures, elle sera définitivement stable.

   - Ce n'est pas pour ça que je pleure.

     Viveka renifla bruyamment.

   - Qu'est-ce qu'il y a alors?

   -Elle est si belle et si pleine de promesses et... (Elle renifla de nouveau.) Ca me fend le coeur d savoir qu'ele devra vivre... tu sais bien... comme nous.

   - Qu'est-ce qu'il ya de mal à vivre comme nous ? demanda-t-il.

     Quelque chose dans sa voix laissait entendre qu'il connaissait la réponse.

     Elle rit nerveusement.

   - Tu me fais marcher, c'est ça ?

   - Viv, les choses ne seront pas toujours ce qu'elles sont aujourd'hui, déclara Viktor. Les temps changent. Tu verras.

   - Je verrai quoi ? Qui changera les choses ?

   - Je ne sais pas. Qelqu'un... finira bien par le faire.

   - Eh bien, j'espère que nous serons toujours vivants pour voir ça, dit-elle en soupirant.

   - Ne t'inquiète pas, dit Viktor sur un ton rassurant. Nous, les Stein, avons de longues vies.

     Viveka gloussa doucement.

     Frankie mourait d'envie de savoir en quoi les "temps" avaient besoin de "changer". Mais l'idée même de poser la question devint inconcevable: ses batteries s'épuisaient. Se sentant à la fois prise de vertiges et plombée par un poids impossible, Frankie sombra plus profondément encore dans les ténèbres, en un lieu où les voix de ceux qui l'entouraient ne lui parvenaient plus. Elle avait oublié leur conversation et l'odeur de la fleurs et de produits chimiques d eleur peau.

      Frankie pouvait seulement espérer que les choses que Viveka voulait voir de son vivant seraient là à son reveil. Et, si ce n'était pas le cas, qu'elle aurait la force d'aller les chercher elle-même pour Viveka.

 

 

1 janvier 2012

Monster High

Bien tout d'abord je vais mettre les personnages

Clawdeen     Cléo de Nile Draculaura 

Abbey Bominable Lagoona Blue  Ghoulia Yelps

Deuce Gorgon Frankie Stein

Holt Hyde Clawd Wolf Spectra Vondergeist

1 janvier 2012

Introduction

Bonjour,

Pour ceux qui ne le savent pas Monster High est un lycée de Monstre (RAD) dans l'Oregon.

Dans le dessin animé Monster High est un lycée de Monstre.

Dans le livre ( je connais mieux) Monster High s'appelle en réalité Merston High c'est un lycée dans l'Oregon dans la ville de Salem de RADs et de Normies (les gens normaux), les monstre sont venue dans la ville de Salem car ils étaient tous mal traités.

Voila ma petite indroduction.

 

 

Publicité
Publicité
Monster High ;-p
Publicité
Archives
Publicité